En 2018, environ 30 000 chauffeurs VTC se trouvent en France. Le chauffeur VTC est une profession qui est de plus en plus prisée par les jeunes. Ce métier consiste à conduire des personnes d’une place à une autre mais en respectant un nombre d’exigences en terme de qualité de prestation, conditions relatives aux véhicules et connaissances de la réglementation qui encadre le secteur généralement acquise lors d’une formation VTC dans un centre agréé.

Que ce qui différencie un chauffeur VTC d’un chauffeur taxi ?

Il n’est pas rare que les gens font une confusion entre un chauffeur VTC et un chauffeur taxi. Pourtant ce sont deux métiers différents. Certaines activités sont restreintes aux chauffeurs VTC :

  • Rechercher des clients dans les rues, ils ne peuvent prendre que les clients qui ont fait une réservation préalable
  • Stationner à proximité des aéroports ou des gares en attente des clients
  • Faire la maraude électronique
  • Une fois la course est terminée, il doit se retourner à sa base

Tout chauffeur VTC doit impérativement déclarer son activité auprès des la Chambre des Métiers de l’Artisanat.

Quelles sont les caractéristiques spécifiques du marché  des VTC ?

Les marché des VTC est très dynamique et ne cesse d’évoluer d’une année à une autre notamment dans les grandes villes française, Paris, Lyon, Toulouse, etc. toutefois le nombre de VTC reste toujours inférieur au nombre de taxis. Il faut donner plus de licences VTC pour couvrir les besoins des clients.

C’est un métier d’avenir qui attire de plus en plus les jeunes qui se tournent fréquemment vers les centres pour suivre des formations VTC.

On distingue plusieurs sous-divisions dans le marché des VTC, les prestations peuvent être destinées aux particuliers dans les métropoles, les professionnels, la longue distance ou les clients VIP.

Les chauffeurs VTC qui souhaitent cibler une clientèle spécifiques doivent être patients et se rapprocher plus des touristes, des hôtels et des agences de voyages et fournir un service de qualité qui fait la différence.

Et pour les plateformes internet de type Uber ?

Il existe plusieurs plateformes intermédiaires qui se mettent au milieu entre les chauffeurs VTC et les clients. Ces plateformes prennent des commissions qui peuvent aller jusqu’à 25 % sur les prestations réalisées. En contre partie, elles doivent assurer aux chauffeurs VTC un flux de clients important.

Catégories : Pratique

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